Dans le fleurissement aérien,
“le principal reste la fleur”,
comme le souligne Gilles
Quennevat, directeur des espaces
verts du Plessis Robinson et formateur
à Chaumont. Leur choix est
donc primordial et ne doit pas être
fait au hasard. Il doit être anticipé et
inclus dans une réflexion plus vaste
estimant “les besoins, les couleurs
et les goûts”, ainsi que le préconise
Roger Delevaque, de la Société Nationale
Horticole Française.